Mais j'insiste, ne dérangez pas les pommes de terre sous aucun prétexte ; si pas hasard vous aviez besoin d'une pomme de terre pour la soupe, prenez en une à l'office, mais, par pitié, laissez mes pommes de terre tranquilles. Je les connais, je les vois chaque jour, elles ont un nom, je fais leur portrait, ne les dérangez pas .
Le journal d'une pomme de terre
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