Quand ils rentreraient chez eux en clopinant, je savais qu'il précéderait sa femme de quelques pas. Ils avaient grandi dans les bois et il marchaient encore de la même manière, comme si la route n'était qu'un étroit sentier tracé au coeur des tourbières et des sapins.
Joseph Boyden -Les saisons de la solitude p.118
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